Après
une année passée à l’Université de Lausanne, des fourmillements me démangent
déjà : est-ce que l’herbe est, comme on dit, plus verte à côté ?
Question hautement existentielle !
Et
voilà que je ne tiens plus en place.
Motivée par l’envie de
vivre une autre culture, j’empoigne avec détermination les démarches
administratives kafkaïennes qui me permettront d’emporter le fameux
sésame : un séjour Erasmus de l’autre côté de l’Europe, au seuil du cercle
polaire – donc pas si à côté que ça finalement ! -, en Finlande. Pour
inaugurer comme il se doit l’année de ma majorité internationale, je m’y rends
afin d’y accomplir ma deuxième année en philosophie et science sociale. Tout un
programme !
Mais pourquoi la Finlande, me direz-vous, alors que des destinations ensoleillées m’ouvraient chaleureusement les bras ? C’est généralement ce que traduit la mine déroutée de mes interlocuteurs lorsqu’ils apprennent ma destination au détour d’une conversation. Et sans leur laisser de répit, j’assène le coup fatal en annonçant que, non, je n’irai pas comme présumé à Helsinki, mais à Turku, 5ème ville du pays avec ses 178 630 habitants, à quelque 160 km de la capitale (voyez plutôt la carte).
Mais pourquoi la Finlande, me direz-vous, alors que des destinations ensoleillées m’ouvraient chaleureusement les bras ? C’est généralement ce que traduit la mine déroutée de mes interlocuteurs lorsqu’ils apprennent ma destination au détour d’une conversation. Et sans leur laisser de répit, j’assène le coup fatal en annonçant que, non, je n’irai pas comme présumé à Helsinki, mais à Turku, 5ème ville du pays avec ses 178 630 habitants, à quelque 160 km de la capitale (voyez plutôt la carte).
Là,
c’est le drame. Plus de repères, le flou total. Panique.

Et pour vous donner une petite idée, voilà la petite vidéo de présentation de Turku par le site VisitFinland, de quoi mettre l'eau à la bouche :)
Näkemiin !
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